Le laboratoire d'hydraulique de l'Université de Sherbrooke est un des plus vastes au Canada. Il est utilisé autant pour les cours que pour la recherche ou la réalisation d'expertises. De nombreux montages et plusieurs canaux permettent la visualisation et l'expérimentation de presque tous les phénomènes de l'hydraulique à surface libre et sous pression. On y trouve notamment une pompe de 40 hp, un système de mise en charge, une station de jaugeage, des canaux, de nombreuses vannes et un canal à houle. Les instruments de mesures faisant appel aux plus récentes technologies comme la vélocimétrie doppler acoustique, sont reliés à des systèmes d'acquisition de données informatisées.
Le laboratoire d'hydraulique du département de génie civil de l'Université Laval comporte plusieurs équipements pour reproduire des écoulements à surface libre et en charge. On y trouve notamment une pompe de 40 hp, un système de mise en charge, une station de jaugeage, des canaux, de nombreuses vannes et un canal à houle. Les instruments de mesures faisant appel aux plus récentes technologies comme la vélocimétrie doppler acoustique, sont reliés à des systèmes d'acquisition de données informatisées. Dans le cadre d'activités de recherche, on peut y réaliser des montages spécifiques. Actuellement, on peut y observer un banc d'essai permettant d'évaluer, en vraie grandeur, la capacité hydraulique des grilles d'égout pluvial.
Le laboratoire d'hydrogéologie de l'Université Laval dispose de l'équipement nécessaire pour mesurer les paramètres hydrauliques de base dans des échantillons de matériaux meubles, soit la conductivité hydraulique saturée, la porosité et la courbe de rétention d'eau des sols partiellement saturés. Il est également possible de réaliser des essais de traçage de solutés sous forme dissoute afin de déterminer les paramètres de transport d'un milieu poreux.
Ce laboratoire sert notamment à la réalisation de travaux de recherche portant sur la compréhension du devenir environnemental des matériaux énergétiques. Le laboratoire comprend deux bacs expérimentaux dont la taille permet de réaliser des expériences de restauration se rapprochant des conditions de terrain, mais sous des conditions expérimentales contrôlées. Ces bacs peuvent contenir de 4 à 9 m³ de sols provenant de sites contaminés ou de sols propres auxquels des contaminants spécifiques peuvent être ajoutés.
Unique au Canada, le Laboratoire d'innovation paysagère contient trois composantes majeures : une unité de capture et de traitement de données terrains; une unité multifonctionnelle ACE (analyse, conception, évaluation); et une unité de gestion des données pour assurer les interfaces, l'archivage, le catalogage de données et de projets d'aménagement, et la diffusion des informations générées. Il réunit les fonctions essentielles à l'acquisition de données variées sur le terrain utiles à la lecture paysagère et territoriale. Il permet aussi la mise en relation de ces informations dans le cadre de recherches portant par exemple sur l'évaluation des impacts visuels, l'appréciation de scénarios prospectifs d'évolution des paysages ou l'évaluation post-conception de visions d'aménagement à toutes les échelles territoriales avec des équipements technologiques de haut niveau.
Ce laboratoire vise le développement de techniques électrolytiques et de procédés oxydatifs afin d’améliorer les systèmes de traitement des eaux usées municipales et industrielles ou remplacer les technologies conventionnelles peu efficaces pour enlever les contaminants organiques réfractaires, inorganiques et microbiens. Il comprend 4 installations : a) Unités de traitement et de pilotage de type laboratoire, b) Unités d’instrumentation de type analytique, c) Montage des unités, stockage des réactifs, installation de fours et de balances, et d) Labo lourd (unité de pilotage préindustriel)
Le Laboratoire de bio-optique et biogéochimie aquatique permet d’effectuer des recherches sur les effets des changements climatiques et du dégel du pergélisol sur la dynamique de mélange et la transparence de l’eau en milieu lacustre, et leurs multiples conséquences sur le réseau alimentaire microbien, les émissions de gaz à effet de serre et l’habitat oxythermique. Les recherches effectuées avec cette infrastructure portent également sur le développement d’outils optiques pour la détection précoce des fleurs d’eau d’algues et de cyanobactéries et autres problématiques liées au brunissement des eaux.
Ce laboratoire pilote offre à la communauté scientifique et à l’industrie son expertise multidisciplinaire et ses équipements de pointe pour le développement et la mise à l'échelle de procédés de fermentation ainsi que la récupération, la purification et la caractérisation de divers dérivés microbiens. Sa vocation première est la R&D dans le domaine des biotechnologies, et tout spécialement les produits à valeur ajoutée utilisant des résidus putrescibles comme matière première.
Le laboratoire Yargeau pour le contrôle des contaminants d'intérêt émergent est implanté à l'Université McGill grâce à un financement octroyé par la Fondation canadienne pour l'innovation (FCI) et par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG). Ce laboratoire à la pointe de la technologie est la solution à tout besoin de recherche relatif à la présence, au devenir et à l'élimination des contaminants lors du processus de traitement des eaux usées. On y retrouve : LC-HRMS; Microtox; Système accéléré d'extraction de solvant; système d'extraction par micro-ondes; extraction en phase solide.